hier, le directeur général de l’ESA Jean Jacques Dordain à organisé pendant près de 2 h une conférence de presse pour souhaité une bonne année 2014 aux journalistes.
A l’occasion de celle ci il a effectuer un bilan de l’année passé et de donner les principale date spatiales de 2014.
2013, fut une bonne année pour le spatial européen comme le lancement du quatrième ATV ( vaisseau cargo de l’esa à destination de l’ISS), la mission de l’astronaute italien Luca patriano ( 6 mois dans l’ISS). Mais aussi la fin des mission de Planck, Hershel ou encore Goce, mais les missions continu dans le décryptage des donnée de ces mission, d’après Mr Dourdain les scientifiques on encore plus de 10 ans de travail pour décrypter et découvrir de nouvelle exoplanète.
Mais 2014 promet d’être aussi une belle année spatiale, avec le 20 janvier prochain entre 17h30 et 19h30 la reception du signal de réveil de la sonde rosetta, après un réveil automatique vers 11h heure de paris à moins de « seulement » 673 millions de kilomètres du Soleil, et il y a enfin assez d’énergie pour alimenter de nouveau complètement le véhicule. Il est temps de se réveiller.
Immédiatement après commencera le réchauffage des suiveurs stellaires du véhicule, ce qui devrait prendre environ six heures.
Une poussée des moteurs permettra ensuite d’arrêter la rotation lente. Une légère correction de l’orientation de Rosetta sera effectuée afin de s’assurer que les panneaux solaires font directement face au Soleil, et ce avant d’allumer les suiveurs stellaires pour déterminer l’attitude du véhicule.
Une fois que celle-ci a été établie, Rosetta va se tourner vers la Terre, allumer son émetteur et pointer son antenne à gain élevé afin d’envoyer un signal qui annoncera son réveil.
Rosetta étant très éloignée – à un peu plus de 907 millions de kilomètres de la Terre – le signal mettra 45 minutes à atteindre les stations au sol. Le signal pourrait atteindre la Terre au plus tôt entre 18h30 et 19h30.
Les antennes du réseau pour l’espace lointain seront à l’écoute du signal, à commencer par la « grande oreille » de la NASA, la station de 70 mètres de diamètre située à Goldstone, en Californie. Au fur et à mesure de la rotation de la Terre, ce sera ensuite au tour de la station de Canberra, à l’est de l’Australie, puis de l’antenne de 35 mètres de diamètre de la station de l’ESA New Norcia, située à l’ouest de l’Australie, de guetter l’arrivée du signal.
Peu importe l’heure d’arrivée du signal, il sera immédiatement relayé au Centre des opérations spatiales de l’ESA, l’ESOC, situé à Darmstadt, en Allemagne.
Mais aussi une collaboration avec la société SNC pour la conception de son véhicule navette pour le projet CCipad qui a demandé l’aide le l’esa pour sa maîtrise des véhicule spatiaux au niveau logiciel, le vol de l’astronaute italienne samantha cristoforetti dans l’ISS pour un vol de 6 mois, le lancement du 5 et dernier ATV et l’avancement du projet Ariane 6/Ariane 5ME. Autre mission d’envergure : l’IXV* dont le lancement doit intervenir à l’automne par Vega. Ce démonstrateur suborbital doit permettre d’acquérir l’expérience nécessaire pour le développement des futurs véhicules de rentrée atmosphérique. Par ailleurs, cette année verra aussi le démarrage de Galileo avec le déploiement total de dix satellites.